Vendredi 14 septembre 2012:
Cela faisait un petit moment que je n’avais pas développé de film. Sans crier: « GARE! », l’envie a pointé le bout de son nez, une heure plus tard je prenais n’importe quelle fleur dans le jardin pour finir ma pellicule. J’ai attendu la nuit pour le développement et découvert après coup que lors des manipulations chimiques une partie du film s’est collée à une autre partie d’elle-même et m’a laissé ces jolies auréoles blanche. La semaine prochaine nous disserterons sur l’importance de l’accident (ou incident) dans la pratique de la photographie argentique.
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